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Nouvelle érotique écrite en français. Le contenu peut choquer (pédo, scat, viol). |
Prologue: - Aline, à ton tour, dit le majordome d'une voix lasse. Elle retire ses habits et se place debout dans le baignoire pour que James puisse la laver dans sa totalité. Moi, j'ai horreur du bain, ou plutôt j'ai horreur de l'heure du bain; car si les autres filles ont le droit de se laver, moi j'ai pas cette chance. Le maître refuse que je sois propre, même mes vêtements doivent pas être changés. Il y a des fois où j'aimerais être normale, que ma mère m'ait pas vendue à ce méchant milliardaire... Mais peut-être que ça serait plus simple de commencer par me présenter: Je m'appelle Ariane, j'ai 8 ans et je suis pas une fille comme les autres; lorsque j'avais 4 ans un homme est venu chez moi, il s'appelle James. Il a donné de l'argent à ma mère, et celle-ci m'a dit de suivre le monsieur. Il m'a fait faire un long voyage en voiture puis nous sommes arrivés à un château. Il m'a fait entrer et m'a présenté à un vieil homme qui devait être le roi du château. Le roi m'a dit que je dois l'appeler "maître" et que je devrai lui obéir. Et depuis je vis dans le château à l'écart du monde extérieur. Des fois je sors dans le parc mais je suis toujours surveillée par James, le majordome. James n'est pas heureux de ce qu'il fait, il essaye d'être le plus gentil possible avec nous. Je dis "nous" parce que je ne suis pas seule. Il y a Lucy, c'est celle que je connais la moins parce qu'elle n'a que 5 ans et ne parle pas beaucoup, je sais que le maître lui a déjà mis des choses entre les fesses mais pas dans son vagin. Parce que oui, ici ce genre de vocabulaire c'est la routine, on est là pour assouvir les fantasmes du maître. Ou plutôt ceux de ses gardes; des gardes il y en a partout, à l'entrée, devant nos chambre la nuit, et à coté du maître. Il ne veut pas qu'on s'échappe. En général on passe notre temps à faire les taches ménagères dans le château, sauf quand le maître a envie de nous voir nous faire toucher par ses gardes. Le soir James nous lavent et prend soin de nous. C'est pas tout à fait vrai pour moi: le maître m'a interdit de me laver, il a décidé que je serai celle qui sent mauvais... Chaque soir ça me rend jalouse de voir les filles se laver et pas moi. C'est tout juste s'il accepte que je change de sous-vêtements, il me laisse en changer une fois par semaine seulement! Aline m'a dit que c'était parce que ça l'excitait et qu'il aimait humilier les enfants. Aline elle sait tout: elle a 14 ans et elle est là depuis sa naissance, elle a vu et fait des tas de choses qu'elle nous raconte à moi et à Tarra. Tarra c'est celle que je connais le mieux: elle a 12 ans et m'a dit qu'elle venait de "Laisse Pagne", elle m'a expliqué que c'était un endroit où tout les gens avaient la peau sombre et les cheveux noirs comme elle. Elle est arrivée un mois après moi, ça à l'air d'être la chouchoute du maître: elle a beaucoup plus à manger que nous et travaille moins. Mais elle est totalement effrayée par le sexe et elle a honte de se montrer nue, ça peut se comprendre parce qu'elle est plutôt grosse (on a pas de balance au château mais je sais qu'elle est plus grosse qu'Aline qui a un poids normal), et si le maître la force pas, elle refuse de faire des trucs sexuels. Moi je suis plutôt docile en apparence mais tout ce que je fais ça me dégoûte. Pourtant je suis pas la plus à plaindre: je suis vierge des 2 cotés, je sais sucer mais seuls quelques doigts curieux ont fouillé mes orifices (et j'ai détesté ça!). Lucy et Tarra sont dépucelées des fesses seulement et enfin Aline est dépucelée de partout. Voilà c'est à peu près tout ce qu'il y a à savoir sur moi. - Lavez bien en profondeur surtout, sinon le maître sera furieux contre vous, conseille Aline à James qui finit de la laver. - Si tu y tiens, dit le majordome sans conviction, puis il se tourne vers moi. Ariane mon ange, tu pourrais prévenir Tarra qu'il faut qu'elle sorte? J’acquiesce et passe dans la pièce où Tarra prend son bain. Aline et Lucy sont lavées par James mais le maître a autorisé Tarra à utiliser le jacuzzi. Elle est avachie sur le bord du jacuzzi lorsque j'entre. - C'est déjà fini? elle demande en soupirant. - Oui, il faut que tu sortes. Elle soupire à nouveau et se lève paresseusement. Elle prend rapidement une serviette pour cacher sa nudité et nous rejoignons Aline et Lucy. - J'espère que vous êtes prêtes pour demain, nous demandes James. - Il a quoi demain? demande Lucy. - Il y a les amis du maître qui viennent, lui explique Aline, il va falloir que tu fasses bien ce qu'ils te disent. Lucy ne répond pas et demande à James de la porter. - Je vais coucher Lucy, nous informe le majordome. Aline je te laisse t'occuper des filles. Lucy dort avec le maître, avec Tarra et Aline on partage un grand lit. Avant de dormir, James ou Aline nous raconte une histoire. "Histoire" est un bien grand mot: James nous parle de la vie à l'extérieur et nous apprend certaines choses qu'on apprend à l'école; tandis qu'Aline nous raconte des histoires qui lui sont arrivées; parfois j'ai du mal à y croire (elle prétend qu'un jour elle a fait l'amour avec un chien!) mais James est là pour confirmer; c'est grâce à elle que je connais la plupart des mots relatifs au sexe. - Demain les filles, nous dit Aline d'un ton que nous n'entendons pas souvent (celui de la bonne nouvelle). Demain on dégage d'ici! - Hein? - Quoi? Nos mines ébahies semblent l'amuser car elle prend son temps pour continuer. - James m'a fait savoir que 2 des gardes qui surveillent le parc sont absents demain, tous ce qu'on a à faire c'est emprunter la porte de derrière et passer par la clôture trouée au fond du parc. Ensuite on trouve une ville et à nous la liberté! Bien sûr, il faudra trouver à manger et... Je ne l'écoute plus, l'image des grands champs de fleurs qui s'étendent à perte de vue me vient à l'esprit. Demain tout sera fini! Je contiens ma joie: ça serrais trop bête que quelqu'un nous entende! Tarra reste silencieuse pour le même motif que moi, mais son visage ne trompe pas. - Il faudra qu'on en reparle, nous dit-elle. Pour l'instant on doit se reposer pour être en forme demain. On ne se le fait pas dire 2 fois et Tarra et moi plongeons dans les draps. La salle est froide et on doit se serrer les unes contre les autres pour se réchauffer. Si ça peut paraître une bonne idée, c'est beaucoup moins drôle en pratique: Etant la plus petite je me mets au milieu, mais après une petite heure, Tarra, qui est dos à moi, transpire énormément, et la chaleur et l'odeur m’empêchent de dormir. Du coté d'Aline qui est lovée contre moi c'est pas mieux: elle doit faire des cauchemars parce que toutes les nuits je sens son bas ventre s'agiter contre mes fesses et je l'entends pousser des petits gémissements comme si elle avait un mauvais rêve. Heureusement ça dure une petite demi-heure après elle retrouve son calme. Cette nuit fait un peu exception à la règle: Tarra et moi sommes très impatiente et nous parlons toute la soirée de ce qui nous attendra hors du château. Aline bouge encore pendant son sommeil et son entrejambe se frotte avec beaucoup d'insistance sur mes fesses uniquement protégée par nos culottes (on a pas de pyjamas). À un moment je sens de l'humidité sur l'arrière de ma culotte. - Je crois qu'Aline elle s'est un peu fait pipi dessus, je chuchote à Tarra en ricanant. - Beurk, enlève lui sa culotte sinon le lit va sentir mauvais, me conseille-t-elle. Bonne idée, je disparais sous la couette et agrippe l'élastique de la culotte d'Aline pour la faire descendre. Je jette un coup d'oeil à son sexe: il y a pas de poils dessus parce qu'elle se rase. L'odeur est pas celle du pipi étrangement, pourtant il y a bien du liquide qui sort de sa fente. Je touche du bout du doigt, c'est visqueux, elle a dû boire un truc collant, comme du sirop. Elle pousse ses petits gémissements habituels, je n'y prête pas attention et m'extirpe des profondeurs des draps en brandissant sa culotte comme un trophée. Puis je la jette au pied du lit, en évidence, j'ose même pas imaginer la tête d'Aline si elle ne trouve pas sa culotte en se réveillant! Avec Tarra nous parlons encore un moment et nous nous endormons, bercées par nos rêves de liberté... Chapitre 1: - Réveillez-vous les filles. James sait toujours comment nous réveiller en douceur: des fois il nous secoue un peu l'épaule et attend d'être sûr qu'on soit réveillées pour nous demander de nous lever; ou des fois, comme aujourd'hui, il nous chuchote à l'oreille d'une voix douce. - Aline qu'est-ce que tu as fais de ta culotte? il demande à l'adolescente qui venait de quitter les draps totalement nue. Je fais un sourire complice à Tarra qui est encore vautrée dans les draps, elle n'a pas envie de se lever. Personne n'a envie de se lever, surtout les jours où le maître fait ses soirées. Tout d'abords parce qu'il nous est interdit d'aller aux toilettes pendant la journée, c'est parce que certains invités aiment qu'on fasse pipi devant eux...ou même sur eux! Aline nous as raconté qu'un jour, on lui a fait un lavement; du peu que j'ai compris c'est un tube qu'on lui a enfoncé dans les fesses pour les remplir d'eau et après elles a dû faire caca devant tout le monde. Elle m'a expliquée que certaines personnes aiment humilier les petites filles, que ça les excitent. Moi je trouve ça dégoûtant, comme tout le reste! Le deuxième inconvénient c'est qu'on doit passer la journée à tout préparer: nettoyer la grande salle à manger, y placer les tables, les couverts et aider les cuisiniers qui sont souvent de mauvaise humeur. En fin d'après-midi nous sommes fatiguées et avons mal au bas-ventre à cause de notre envie de faire pipi. Et pourtant la soirée ne fait que commencer! James nous habille séparément, sous les ordres du maître, puis nous nous occupons de plaire aux invités... ... Ce début de soirée, je suis dans la cour devant l'entrée, j'ai un plateau de biscuits dans la main et j'accueille les invités. Aujourd'hui il y a un peu plus de gens que d'habitude: environ une bonne trentaine, une majorité d'homme, quelques femmes et 5 ou 6 enfants. Pour la plupart ils prennent un biscuit, font glisser leur main sur mes fesses et disparaissent à l'intérieur. Je ne l'ai pas dit, mais nos tenues sont très légères en général. Moi, je porte seulement ma culotte. Et je dis bien MA culotte, comme je l'avais dit avant je n'ai pas le droit de prendre de douches, et on m'a également interdit de m'essuyer après être allée aux toilettes, et comme si ça ne suffisait pas, je porte la même culotte depuis une dizaine de jour, parce que le maître ne veut pas que je change d'habits. Ce vêtement me met dans un état de honte permanent: des fois je peux sentir l'odeur s'échapper de mon entrejambe jamais lavée. Et les invités peuvent facilement voir les traînées marrons qui salissent le tissue blanc à l'arrière. C'est de loin la plus grande humiliation que je subis pendant les soirées. Il commence à pleuvoir et les invités se décident à rentrer. James apparaît à l'entrée et demande à tout le monde de venir dans la salle à manger; il ferme la porte derrière nous et me demande d'aller servir les verres. Aussitôt, je file dans la cuisine en passant par la salle à manger. La salle à manger est un peu comme la grande salle de Poudlard, dans Harry Potter -c'est l'un des seuls films que j'ai vu. Les tables sont disposées sur le coté pour les invités et au fond il y a celle du maître; il y a un grand espace vide au centre où les invités sont en train de discuter. Je passe par le coté droit pour rejoindre la cuisine, je croise Tarra avec un plateau de toasts. Niveau habillage elle n'a pas été épargnée non plus: elle ne porte qu'un string noir qui cache à peine les lèvres son sexe; elle est presque aussi humiliée que moi: elle ne supporte pas qu'on la voit nue en public, et en plus elle a horreur qu'on se moque d'elle à cause de son poids. Evidemment avec juste un string ses kilos en trop sont biens visibles et les invités ne se privent pas de lui faire des remarques humiliantes. Je me doute que même si la soirée ne fait que commencer ils se sont déjà fait plaisir: elle est toute tremblante et retient ses sanglots. - Tu t'en sors, je lui demande. - J'en peux plus, elle me répond d'une voix faible. J'ai l'impression qu'ils me regardent tous avec du dégoût. - T'en fais pas, dans quelques heures tout sera fini, je lui dit en la serrant dans mes bras. J'aperçois un cuisinier qui me fait un signe pour me rappeler pourquoi je suis là. Je prends le plateau rempli de verres en faisant attention de ne rien faire tomber -ce genre de faute est lourdement sanctionnée. Heureusement j'ai l'habitude et je ne fais aucun faux pas. Ce début de soirée ne se déroule pas si mal hormis quelques mains baladeuses qui s'attardent un peu trop longtemps dans ma culotte; mais les invités doivent se soumettre à la règle: aucune pénétration sans l'accord du maître. Cette interdiction les aigrissaient et ils n'hésitaient pas à nous humilier verbalement pour se venger. Moi je fais de mon mieux pour les ignorer mais je sais que Tarra est terriblement blessée à chaque insulte, surtout celles sur son poids. J'aperçois Aline qui me fait signe que le repas va commencer. Aline, c'est la seule qui a droit à de vrais habits: une jupe qui lui arrive au bas des fesses et une chemise d'écolière, par contre elle a pas de sous vêtements. C'est quand même la plus belle et en plus James lui a mis du parfum; ça m'rend un peu jalouse quand même: elle est super belle et bien habillée alors que moi j'ai qu'une culotte sale et je sens mauvais... Le repas est le pire moment pour nous, le maître nous interdit de manger le midi afin qu'on soit obligées de se nourrir le soir. Et le soir, ce sont les invités qui nous font manger, ils ont toujours des idées écoeurantes et humiliantes; mais on a pas le choix. Trouver quelqu'un pour se nourrir est tout une technique: mon choix s'arrête sur un homme plutôt charmant, un air de gentleman du siècle dernier, discret...et avec une assiette de purée bien remplie. Vu sa taille c'est évident qu'il a pas prévu de manger ça tout seul. Je vais à coté de lui et le regarde d'un air suppliant (ils adorent ça). - C'est ça que tu veux? il me demande en prenant son assiette. Montre moi comment les petits chiennes dans ton genre demande leur nourriture. Obéissante, je me mets à 4 pattes, la langue pendante et un regard d'animal affamé. C'est dans ces moments là que je m'sens la plus honteuse, je fais de mon mieux pour ne pas le montrer et avoir l'air d'un animal bien élevé. Une fois qu'il en a assez de cette humiliation il pose son assiette de purée sur le plancher froid et je n'ai plus qu'à manger, toujours à la manière d'un animal et toujours aussi humiliée... Je me force à penser à la nourriture -qui d'ailleurs est délicieuse- plutôt qu'à ma position. L'homme qui visiblement n'est pas encore satisfait, passe sa main dans mes cheveux et me caresse comme il caresserait son chien. Je frissonne lorsque ses doigts descendent sur mon dos et se glissent sous le coton de ma culotte; ils passent dans ma raie des fesses, frôlent mon petit trou et reviennent sur mon dos. Une fois que j'ai fini mon assiette il m'autorise à prendre une serviette pour m'essuyer. Je crois enfin mon calvaire terminé lorsqu'il me montre son index: c'est celui qui avait été en contact avec mon anus, il est bruni au bout et dégage une odeur répugnante. Sans que je ne puisse rien dire il l'essuie dans mes cheveux et me fait signe que je peux m'en aller. Je me relève et m'éloigne de la table, je me dit au fond de moi que c'est fini mais je sais que si c'est fini pour lui, il y en a d'autres. Heureusement, je n'ai pas à satisfaire la totalité des invités: les fillettes amenées par les invités sont souvent plus utilisées; et il y a Aline et Tarra, ça peut paraître étrange mais je me sens mieux quand je sais que ça n'est pas moi qui subis les pires trucs, c'est pourquoi je les cherche du regard dans la salle. Je ne vois pas Tarra; cependant je vois Aline: elle est à 4 pattes sur une table, au milieu. Sa jupe est relevée sur son dos et un homme à ses mains entre ses jambes. Je suis obligée de me rapprocher pour voir ce qu'il se passe, et ce que je vois me fait frissonner: L'homme enfonce une saucisse dans l'anus de ma copine! Elle ne semble pas souffrir, en tout cas elle ne le montre pas; mais ça doit être humiliant, et le pire est à venir, car je sais que cet homme n'hésitera pas à lui faire manger juste après, beurk! ... -Hé, la crasseuse, viens par là! À l'instant où j'entends ça mon coeur se serre, car une seule personne a assez de méchanceté en elle pour m’appeler comme ça. Et cette personne elle est assise à la table du maître, car cette personne c'est la nièce du maître. Elle s'appelle Solène et a 11 ans, habillée comme les invités féminines, un regard qui vous fait la détester dès que vous la voyez, et c'est réciproque: dès qu'elle vient au château elle ne perd pas une seule occasion de m'humilier, je la déteste! - Il parait que t'as pas mangé depuis ce matin, alors je m'suis dit que je devrais partager avec toi, me dit-elle en souriant à mon maître. Elle pose son assiette par terre (de la semoule), et alors que je m’apprête à la manger de la même façon que la purée tout à l'heure, elle pose rapidement son pied dans l'assiette. - Sois pas si pressée, elle me dit en riant. Je sais que t'aimes la saleté alors je me suis pas lavée les pieds depuis une semaine juste pour que tu puisses les laver toi-même. Beurk! Je lui jette un regard mêlant haine et dégoût, j'ai fait pas mal de choses humiliantes mais ce qu'elle me demande va souvent au-delà de l'humiliation, ce qu'elle aime c'est me souiller, me salir; et moi je dois lui obéir. Elle me tend son pied noirci de crasse, je mets un coup de langue hésitant en me forçant à penser au goût de la semoule seulement, mais le goût est tellement forte que je dois retenir un haut-le-coeur. Je me dépêche de lécher la semoule sous ses regards amusés. Lorsque je pense mon calvaire finie elle trempe son deuxième pied dans l'assiette. - J'en ai pas fini avec toi ma petite cochonne, dit elle pour me rabaisser encore plus. Je crois qu'il y a encore un peu de saletés sur mes pieds. C'est ce genre d'insultes que je déteste le plus, parce qu'elle insinue que je lui appartiens, en plus de dire que j'suis sale. Je me force de pas pleurer mais lorsque ma bouche entre en contact avec son deuxième pied les larmes arrivent toutes seules. - T'oublieras pas de me laver entre les orteils, c'est là que c'est le plus sale tu devrais aimer. Maintenant j'ai carrément la nausée, elle s’arrêtera jamais?! - Allons ma puce, lui dit mon maître en mettant une main sur ses fesses. Garde un peu de perversité pour tout à l'heure. J'ignore de quoi il parle mais je suis soulagée d'avoir à arrêter. - Mais ça fait du bien! se plaint-elle en retirant son pied de ma bouche. C'est encore plus drôle que tout à l'heure avec la grosse espagnole. Je sais bien qui elle désigne par là mais ne cherche pas à en savoir plus. Le maître m'ordonne d'aller me passer un coup sur le visage, ce que j'accepte avec joie; le passage aux toilettes ne se faisant qu'une fois par soirée; et quand je dis "toilettes" ça n'inclut que le miroir, le lavabo, et le savon (savon pour tout le monde sauf pour moi). Une fois dans les toilettes je me précipite au lavabo et crache toutes les immondices qui étaient encore dans ma bouche, ma salive a une couleur noire avec quelques bouts de semoule: je ne savais pas que le corps pouvait sentir aussi mauvais; maintenant je comprend pourquoi Tarra se plaint de mon odeur. Et d'après Aline ça serra encore pire quand mes poils pousseront... Dans ma précipitation je n'ai pas vue Tarra: elle est devant un lavabo en train de pleurer; immédiatement une vague de colère me saisit. - Qu'est-ce que cette salope t'as fait!?Je demande d'un ton si énervé que je m'étonne moi-même. Elle est aussi surprise que moi et se retourne dans ma direction; elle n'a pas l'habitude de m'entendre dire des gros mots. En général je suis polie mais Solène a le don de me mettre à bout. J'inspire profondément pour me calmer et serre Tarra contre moi; elle a beau avoir 12 ans, elle est mentalement presque aussi jeune que moi; j'ai l'habitude de la considérer égale à moi, même si nos normes hygiéniques sont opposées. - Raconte-moi, je chuchote calmement. Elle essuie ses larmes et essayent d'étouffer ses sanglots, puis elle prend sa respiration. En même temps qu'elle me raconte ses mésaventures j'imagine la scène, qui a eu lieu il y a à peine 5 minutes: "- Hé, la grosse! viens ici! Tarra sursauta, elle savait qui avait dit ça et ce qui allait lui arriver; les images de ces précédentes humiliations lui venaient en tête et la faisait paniquer. Elle suait beaucoup: ses dessous de bras et son entrejambe étaient moites. Un sentiment de malaise l'envahissait, accentué par sa presque-nudité. Elle s'approcha jusqu'à être à coté de Solène, celle-ci avait un an de moins qu'elle pourtant Tarra était effrayée par cette fille. Elle avait une sucette dans la bouche, et une idée derrière la tête... - Je sais que t'as très faim mais je garde ma semoule pour quelqu'un d'autre; et puis vu ton poids tu dois pas manquer de nourriture. Tarra commençait à trembler, les mots de Solène lui faisait mal. Sous ses ordres elle se mit à 4 pattes devant elle. - Nan retourne-toi idiote! ordonna Solène en voyant sa victime s'agenouiller face à elle. Je veux voir ton gros cul. La pauvre enfant ne comprit pas ses intentions mais s’exécuta, exposant deux fesses potelées de petite fille bien nourrie à Solène. - Faut vraiment que t'arrêtes de manger, tu ressembles à un gros cochon. La fillette prenait un malin plaisir à l'humilier, c'était évident. Cela n’échappa pas à son oncle qui vit les mains de sa nièce jouer sous sa jupe, il a toujours été étonné par son imagination débordante; et il n'avait pas tout vu, car celle-ci écarta la ficelle du string dissimulée entre les deux globes de chaires et retira sa sucette de sa bouche pour la faire descendre dans la raie des fesses de Tarra. De nombreux poils étaient disséminés, depuis son pubis jusqu'autour de son anus. - Tu pourrais t'épiler au moins, reprocha Solène en souriant. Elle adorait humilier cette gamine pleurnicheuse. Même si elle devait s'avouer un peu jalouse de cette espagnole qui avait déjà des seins et des poils entre les jambes alors que elle, avait encore une poitrine plate et un sexe imberbe, et à peine un an de moins. "Peut-être mais moi j'ai de la dignité" se dit-elle en souriant. Et pour chasser toute cette jalousie elle enfonça violemment sa sucette entre les grosses fesses de Tarra. Celle-ci poussa un cri de surprise mais, obéissante, ne se débattit pas, se contentant de pleurer à chaude larme. Il ne fallut pas longtemps à la sucette pour pénétrer le petit trou de Tarra; elle laissa échapper un cri de douleur en continuant à pleurer. La sucette avait beau être pleine de salive, elle avait des difficultés à glisser et Solène pris un plaisir sadique à faire tourner l'objet en appuyant de plus en plus fort jusqu'à ce que seul le bâton soit visible. A ce niveau là Tarra ne cherchait plus à retenir ses larmes et se laissa aller dans de longs sanglots. Quant à Solène elle avait une main affairée sous sa robe, les yeux rivés sur l'anus de Tarra, et un sourire méchant sur les lèvres. Elle avait soumis cette gamine comme un maître soumet son animal. - Fais pas semblant d'avoir mal, je suis sure que tu adores ça, souffla-t-elle à Tarra. Après que la suppliciée se soit lassée de pleurer, Solène retira violemment la sucette, arrachant les quelques poils collés à la friandise. La pauvre espagnole poussa une autre plainte de douleur, son anus était irrité et très douloureux, mais elle était soulagée que son supplice soit fini. - Comme je suis gentille je vais quand même te laisser goûter ma sucette, dit Solène d'un ton faussement empathique. Les pleurs de Tarra reprirent de nouveau lorsqu'elle se retourna: elle eu tout juste le temps de voir la sucrerie, puante de sueur, tachée de son caca et garnie de poils, que Solène s'empressa de l'enfoncer entre ses lèvres. Tarra fut écoeurée par le goût immonde de la sucette: elle avait le goût de son propre corps. Cette humiliation combinée à la répugnante sucrerie lui donna la nausée, mais elle se retint et se laissa faire. - Je vois que t'as très faim, ricana Solène. Tu manges n'importe quoi, c'est pour ça que t'es grosse comme une truie. Une fois de plus les insultes de Solène eurent l'effet escompté et les larmes de Tarra furent plus nombreuses à salir ses joues..." - C'est finie maintenant, je lui souffle à l'oreille. Dans 1 heure on sera loin d'ici, et on ferra plus jamais ça. Ma douceur semble faire effet: en 2 minutes les pleurs et les sanglots ont laissé place à quelques reniflements. Au fond de moi je me sens rassurée, parce que je suis pas celle qui a la plus souffert; c'est égoïste et méchant mais c'est ce que je ressens, j'y peux rien... J'entend la porte s'ouvrir derrière moi, c'est Aline: elle à l'air un peu fatigué et ses cheveux son décoiffés, mais elle a encore ses habits. - Alors, ce début de soirée? elle nous demande avec un grand sourire. - Ça aurait pu être pire pour moi, je dis en caressant le dos de Tarra. Et toi? - J'ai eu droit à de la purée servie sur une bite et une saucisse au goût très... spécial, dit-elle comme si c'était banale. - Alors, on part quand? demande Tarra qui a repris son calme. - Du peu que je sais, Solène a besoin de Lucy pour un moment, nous explique Aline. Après les invités s’amuseront surement avec les autres fillettes et ça nous laissera largement le temps de nous enfuir. Elle se rince rapidement la bouche et se recoiffe. - On devrait retourner dans le salon, je conseille à mes deux amis. Il faudrait pas que le maître nous voit comploter... Elles sont d'accords avec moi et nous quittons les toilettes. Une fois sorties James, qui attendait Aline devant les toilettes nous fais signe de le suivre; il nous emmène à la table du maître. J'aperçois Jessica que je n'avais pas vu jusque là: c'est la soeur de Solène, elle tient de sa soeur même si elle n'a que 3 ans. Elle n'hésite pas à faire toutes les choses que lui demande sa grande soeur, sans doute avec un certain plaisir. Jessica et Solène se mettent au centre de la salle, Lucy est avec les 2 soeurs; c'est la seule qui soit totalement nue, les deux autres sont en robes. Je ne sais pas ce que Solène a en tête mais la façon dont elle se met en évidence ne présage rien de bon pour la pauvre Lucy. - Ma nièce m'a parlé de ce qu'elle prévoyait de faire, nous dit le maître sans quitter des yeux "la scène". Après avoir vu ça vous n'aurez plus aucune raison de vous plaindre de ce qu'elle vous a fait. J'ignore s'il est sérieux ou pas, mais son ricanement fait peur... Tarra est déjà blottie contre moi, elle a peur. Aline, elle, s'est assise à coté du maître, elle ne semble pas plus inquiète que ça, juste curieuse. - Alors Jessica, dit Solène d'une voix assez forte pour être entendue de tout les spectateurs qui maintenant suivent la scène avec attention. Tu te souviens de ce que tu as fait à Aline la dernière fois que tu es venue? Je me retourne vers l'adolescente: elle est toujours concentrée sur la scène mais je vois un peu d'inquiétude se dessiner sur son visage. - Oui ze m'en souviens, répond la fillette en zozotant. Tu m'as mis de la crème sur ma main et ze l'ai enfoncée dans ses fesses. Je me tourne à nouveau vers Aline et elle hoche la tête pour me confirmer ce qu'a dit la fillette. - Et ça t'as fait du bien? demande Solène. - Oh oui z'ai adoré, mais z'aurais aimé que ça soit plus serré. J'aperçois des mains s'agiter sous les tables; j'imagine que ce genre de choses dîtes par une enfant de son âge doivent être excitantes pour des gens comme eux. - Et aujourd'hui, déclare Solène en retirant sa jupe (elle ne porte rien en dessous). Je vais exaucer ton souhait. D'un coup, un frisson me parcourt; Tarra pousse un petit cri d'animal effrayé et quelques invités commencent à s'agiter; même Aline parait surprise. Nous avons tous compris ce qui va arriver à la pauvre fillette. Tout d'abords Solène met Lucy en position; celle-ci ne cherche pas à se défendre et se retrouve les genoux, la tête au sol et les fesses pointant au plafond. Lucy n'a que 5 ans mais a déjà été dépucelée par derrière: elle avait beaucoup pleuré, n'avait pas pu s’asseoir pendant longtemps et elle avait même du reporter des couches parce qu'elle arrivait pas à se retenir. Je me souviens que tout ça avait excité les invités. Quoiqu'il en soit, dès qu'on aperçoit le minuscule anus de Lucy entre ses deux fesses écartées par les mains de Solène, on peut être sure qu'elle aura mal. Solène s'est assise sur la nuque de Lucy, son entrejambe frottant contre l'arrière de la tête de la fillette. Ce geste de dominance augmente le désir des spectateurs qui commencent à réellement s'agiter. Tarra aussi commence à trembler et se serre de plus en plus fort contre moi. Enfin Solène passe à l'action: elle écarte en grand les fesses de Lucy et plonge sa langue dans son petit trou. La fillette ne se débat pas et se laisse faire, obéissante. Je remarque qu'en même temps que Solène humidifie l'anus de Lucy, elle frotte ses fesses contre sa nuque. Aline m'a déjà vaguement expliquée que les filles pouvait avoir du plaisir en se frottant entre les jambes. Sur le coup, Solène peut à la fois se faire plaisir en se frottant le vagin et en humiliant Lucy; pour moi c'est tout l'inverse, parce que je n'aime pas qu'elle fasse mal à mes amis, et je n'aime pas non plus qu'elle prenne du plaisir! Et ça y est, elle retire sa langue de l'orifice inondé de salive; et aussitôt Jessica pousse son poing contre le petit anneau brun. Je vois le poing s'enfoncer entre les fesses mais je ne crois pas qu'il ai pénétré l'orifice parce que Lucy fait une grimace d'inconfort mais ne semble pas trop souffrir pour l'instant. - C'est trop gros ça va la tuer! s'écrie Tarra en sanglotant. Je la serre dans mes bras et tente de la rassurer. Le bras de la fillette est loin d'être assez gros pour tuer Lucy, mais ça lui ferra tout de même très mal... Solène guide d'une main les doigts de sa petite soeur, et de l'autre elle écarte les fesses de Lucy. Celle-ci fait une petite grimace qui me confirme que les premiers doigts l'ont pénétré; au fur et à mesure que la main s'enfonce, ses grimaces se transforment en plaintes, puis en sanglot. Finalement son sphincter cède face à la pression et elle laisse échapper un cri au moment où la main de Jessica transperce sa rondelle jusqu'au poignet. Tarra aussi tressaute face à la violence du cri et se colle littéralement à moi; elle est en larme, tout comme Lucy. - C'est agréab', commente niaisement la gamine avec un sourire d'aise. Elle a maintenant la moitié de son avant-bras enfoncé les boyaux de Lucy mais je ne pense pas qu'elle ira plus loin; la pauvre fillette est à l'agonie comme si une épée était en train de lui percer le ventre. Pourtant Jessica n'en a pas fini puisqu'elle commence à faire des vas-et viens avec son bras, et elle semble aimer la sensation que ça lui procure. Je me demande combien de temps cet affreux spectacle va encore durer; c'est Solène qui répond à ma question lorsqu'elle pousse un cri animal qui fait stopper sa petite soeur. Aline m'a déjà expliqué des choses sur l'orgamse des filles et je crois que c'est ce que vient d'avoir Solène. - C'est très bien ma puce, dit Solène essoufflée. Maintenant ressort ta main et lave là. Docile, Jessica retire sa main -si brutalement que Lucy pousse un cri lorsque le poignet de la fillette passe son sphincter. Puis, sans protester, elle lèche tout le caca qui est resté collé à son bras sans montrer de signe de dégoût. Beurk! Je sais pas comment elle fait pour pas vomir. En tout cas ça a pas l'air de déplaire aux invités: la moitié ont déjà éjaculé et les autres agitent leurs sexes frénétiquement; seuls quelques uns semblent se réserver pour la suite de la soirée. Ça je m'en fiche, ils s'en prendront aux enfants des invités, pas à nous. J'ai croisé une chinoise ressemblant à Tarra qui avait l'air très docile... Ça va faire 5 minutes qu'on attend devant la porte principale Tarra et moi, collées à l'armoire pour pas nous faire remarquer. On attend Aline qui a jugé nécessaire de laver les cheveux de Lucy avant de partir; Solène a frotter ses fesses si fort qu'elle a salie les cheveux de Lucy avec du caca. - Allez les filles on y va, dit Aline en entrant dans le hall avec Lucy dans les bras: la petite est encore en larme à cause de la pénétration qu'elle a subi, mais ses cheveux sont lavés. Aline ouvre la porte et nous fait toute sortir. Dehors il ne fait pas froid, mais une fine pluie nous mouille les cheveux, je frissone tout de même, peu habituée au contact de l'eau sur ma peau. Tarra et moi nous apprêtons à courir mais Aline nous arrête, elle regarde au dessus d'elle, vers les fenêtres de l'étage. - James, t'es là? chuchote-t-elle. - Ça arrive, répond James dont la tête dépasse de la fenêtre. Attention en bas! Aline nous fait signe de nous écarter; elle fait bien car un grand sac tombe pile devant moi. - C'est nos provisions pour les prochains jours, elle nous indique en mettant le sac sur son dos. Merci James! - De rien, allez-y maintenant! Pas la peine de nous le redire 2 fois, je suis un peu triste pour James qui doit rester au château mais rien ne me retirera la joie d'être libre! ... Si la fuite paraissait simple, la pratique est un peu plus difficile. Tout simplement parce qu'il fait nuit, et qu'aucune d'entre nous n'a pensé à emmener de lampe de poche; marcher dans le parc non éclairé est une tâche difficile, et je n'ose même pas imaginer la galère quand il faudra trouver le trou dans la grille... - Hé! C'est quoi là-bas?! Aline pousse un juron, la panique nous envahit, on nous a vues! Nous n'attendons pas les ordres d'Aline pour courir le plus vite possible. Je prends rapidement de l'avance, Aline est handicapée par le sac et par Lucy qu'elle tire par la main, et Tarra est assez lente, peu habituée à faire du sport. - Je l'ai vue par là! cri une voix. Cette voix est moins proche que celle d'avant; ça voudrait dire qu'il ont perdue notre trace?! Malheureusement je parle trop vite, dans ma hâte je trébuche sur une branche ou une feuille et mes amis derrière me suivent dans ma chute. - Je l'ai entendue! par là-bas! hurle le garde dont la voix se rapproche cette fois. Je suis sonnée par le choc et crois bien ma dernière heure venue. Jusqu'à ce que je sente les bras d'une des filles me trainer en dehors du chemin, le sol terreux sous mon dos laisse place à de la boue presque liquide, mais je n'ose pas ouvrir les yeux pour essayer de comprendre ce qu'il se passe. J'entend seulement les gestes affolés des filles, et les plaintes de Lucy qui doit s'être faite mal en tombant, puis plus rien, l'obscurité est percée par les lampes des gardes qui s'approchent. Je fais de mon mieux pour calmer ma respiration, même si les plaintes de Lucy couvrent facilement le bruit de nos corps essoufflés. Petit à petit j'entrouvre les yeux, la boue recouvre tout mon corps et je dois me frotter un moment le visage pour y voir quelque chose. Les gardes illuminent quelque chose avec leur lampes de poche. Il y a 2 faisceaux donc logiquement 2 gardes. - Cette pute a voulu s'échapper, elle a cru que c'est parce qu'on était que deux cette nuit qu'elle réussirait à s'enfuir! se moque l'un des gardes en illuminant... Lucy! Je jette un coup d'oeil autour de moi: Aline est à quelques centimètres à ma gauche avec le sac; je sens Tarra collée à mon corps, tremblante; mais Lucy est toujours sur le chemin! - Le maître a été clair, annonce l'un des gardes. Tout est permis avec les fuyardes. - Nan! laissez moi! cri la fillette en se débattant pendant que les gardes se penchent vers elle. - Je sens que j'vais adorer cette petite chatte encore vierge, commente l'un en retirant son pantalon. J'entends Tarra pousser un petit cri à coté de moi, heureusement les plaintes de Lucy couvre le son. Je passe ma main boueuse sur le dos moite de mon amie pour la rassurer, que faire d'autre? Nous allons devoir passer les prochaines heures à assister au viol de notre amie sans pouvoir rien faire. La seule solution pour éviter ça c'est Aline qui la trouve: essayer de s'endormir. Là où nous sommes les feuilles nous protègent; Tarra se couvre le visage de ses mains et essayent de retenir ses sanglots; il n'y a que moi qui ne sait pas quoi faire. Au fond de moi j'ai toujours ce sentiment de satisfaction à savoir que je ne suis pas celle qui souffre le plus, et je regarde le spectacle moitié dégoûtée et moitié fascinée. De là où je suis je peux assez facilement voir les fesses de Lucy qui sont tournées vers moi. Rapidement des doigts viennent remplir ses trous: 3 dans son trou des fesses encore largement ouvert et 2 dans son vagin. Elle cri lorsque les doigts entrent en contact avec son anus tout irrité, pourtant elle reste relativement passive face à ceux qui pénètrent dans sa fente. J'en déduit que les gardes ne sont pas trop agressifs pour préserver son pucelage. Aline m'a expliqué que les filles avaient un hymen dans leur vagin et que ça excitaient les hommes de l'enlever avec leur sexe, mais que ça faisait très mal, ça ils doivent s'en moquer. Rapidement l'un des gardes passe à la vitesse supérieur: il s'agenouille derrière sa victime, pantalon baissé, et frotte son sexe contre sa fente. Je ne vois pas très bien ce qui se passe ensuite, mais nous entendons toutes le cri strident de Lucy, et je n'ai pas besoin de mes yeux pour comprendre ce qui se passe. Je ne peux plus supporter ça, je me serre contre Tarra et essaye de dormir. Avec la boue frottant sur mon corps, et les cris de Lucy résonnant dans mon crâne c'est difficile, mais j'ai pas le choix... |