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Nouvelle érotique écrite en français. Le contenu peut choquer (pédo). |
Je me suis réveillé tôt aujourd'hui, j'avais pas trop le choix, la plupart des gamines étaient déjà debout à 7 heures et il fallait quelqu'un pour les surveiller; et vu que les jumelles dormaient encore... Ça m'faisait plaisir de voir que même les filles qui ne sont pas dans mon groupe me respectent et m'apprécient. En fait, la seule qui me considèrent vraiment comme un ado dans cette colo c'est Aline... La nuit qu'on a passé avait fini de m'épuiser, une vrai nuit d'hôtel... Je vais pas m'en plaindre, n'importe qui aurait tué pour être à ma place! Heureusement les filles étaient assez calmes ce matin, aucun problème. - Vous préviendrez les autres qu'il y a une réunion en salle de projection à 9 heures! je leur dis avant d'aller déjeuner. Cette réunion allait être l'occasion de parler du programme de la semaine, que les fillettes ignoraient. On avait prévue des jeux en plein air pour cet après-midi qu'on devait monter après la réunion. Pendant le déjeuner j'ai discuté avec Sarah, étrangement Eléonore ne parlait pas beaucoup, elle avait l'air fatigué. - Z'ai pas trop bien dormi, elle m'a expliqué. - C'est normal quand on dort loin de chez soi, ça passera, je lui ai dit pour la rassurer. Eléonore est de loin la plus gentille et agréable des enfants, et puis elle m'a l'air d'être la plus innocente; j'apprécie énormément sa compagnie, et je crois que c'est réciproque. Après le déjeuner j'ai installé les chaises dans la salle de projection, les filles sont arrivées par petit groupe sans oublier de me saluer pour celles qui ne l'avaient pas fait. Rebecca et Sabrina sont arrivées dans les dernières, elles avaient l'air de sortir du lit. Une fois toutes les filles assises, Sabrina a commencé à parler: - Bonjour mesdemoiselles, vous allez bien? - OUIIIIIIII! - J'espère que le voyage vous a pas trop fatiguées... - NAAAAAAAAAN! - Tant mieux! Parce que cette après-midi vous allez devoir bouger! J'ai entendu certaines filles se plaindre, celles de mon groupe plus particulièrement... - On vous expliquera ça plus en détail cet après-midi, continua Rebecca. Demain, on fera une sortie à la piscine avec un pique-nique. Il risque de pas faire beau mais rassurez-vous, la piscine est couverte. Jeudi et vendredi on a une jolie surprise pour vous. - Quelle zenre de surprise? demanda une voix que je n'eus aucun mal à reconnaître. - C'est une surprise, fit Rebecca mystérieuse. Samedi on vous laissera tranquille toute la journée, et le soir on fera une petite fête. Et dimanche c'est le départ. - Ce matin on va vous laisser un temps libre car il nous faut du temps pour installer les jeux, j'ai continué. Après manger, vous irez toutes dans le jardin derrière l'hôtel. Ça sera tout. Elles avaient l'air satisfaites à en juger par leur sourire, nous sommes tous sorties de la salle de projection et avec les jumelles nous sommes allés dans le garage pour récupérer le matériel nécessaire aux jeux. - J'vais vous aider! c'est proposé Aline à la fin de la réunion. - Moi aussi ze veux vous aider! - C'est d'accord Aline, tu peux venir. Toi Eléonore tu vas voir Camille et Sarah, il faut que vous preniez votre douche et que l'une de vous y aille avec Julie. - Ho... fit la fillette un peu déçue. - C'est parce que c'est un peu dur pour une petite fille de 9 ans, je lui ai expliquée en me mettant à sa hauteur. - Mais je veux vous aider! elle persiste - Ecoute, c'est pas que je veux pas, mais ça risque d'être dangereux, et je veux pas que tu te fasses mal. - D'accord... elle murmure. Puis elle me déposa un bisou sur la joue, très lentement, ça me paraissait un peu trop hésitant venant de cette fille qui savait ce qu'elle voulait, mais je ne me suis pas posé de question. Elle est partie en courant juste après ce baiser, comme si j'allais la disputer. ... - Elle est très jeune, c'est normal qu'elle ait réagi comme ça, me dit Aline pendant qu'on installait les jeux. Elle reviendra te voir pour s'excuser, ou alors tu devras toi-même la trouver pour lui expliquer que c'est pas grave. - T'as l'air de t'y connaitre, je lui dis. - C'est une façon assez discrète de tourner la conversation vers ma vie, elle me fait remarquer. - Tu te doutes bien que ce que tu m'as dit hier m'a laissé avec quelques interrogations. - Tu veux savoir d'où je tire mon expérience en matière de sexe? - Tu devrais parler encore plus fort pour être sûre que Sabrina et Rebecca nous entendent... - Si c'est ça qui t'inquiète, dit-elle en riant. Je vais te la faire en bref: la colo est financée par le père des jumelles. Moi, j'ai fugué de chez moi quand j'avais 8 ans, après quelques semaines de vols et de prostitution, je me fais enlever par cette même personne, depuis je bosse chez lui et il se trouve qu'il a une passion pour les fillettes. - C'est particulier... pourquoi tu t'enfuies pas? Elle rigole encore plus fort qu'avant: - Là-bas je suis nourrie, logée et j'ai même pas besoin de demander pour avoir quelqu'un avec qui baiser. Pourquoi je voudrais partir? - C'est vrai que... - Je sais que tu dois penser que je suis malheureuse, mais je t'assure que j'ai une vie super. - Si tu l'dis... Je m'attendais à quelque chose de choquant, mais pas à ça... Quelqu'un de normal aurait sûrement prévenue les autorités, mais les gens normaux ont tendance à être très cons. Et puis je suis un fervent partisan du "Si tu aimes ça continue". J'espère juste qu'elle n'aura pas de mauvaise influence sur les autres... - Sarah, il faut que t'ailles prende ta dousse avec Camille! Elle est entrée et est ressortie aussitôt. Quelle voix agaçante! Et il faut encore que je prenne une douche! Je m'écroule sur mon lit et soupire un grand coup. - Toi t'aimes pas les douches... me dit Camille qui est en train de fouiller dans le placard. - Pourquoi tu dis ça? - Bah t'as pas l'air d'avoir prévue beaucoup de sous-vêtement de rechange, ça a un lien. Encore une qui pense que j'suis une cochonne! - Qu'est-ce que ça peut te faire? je réplique. - Si tu veux on peut la prendre ensembles et on fait semblant. - Heu... d'accord. Mais tu l'dis à personne hein? - T'inquiète pas. - Dépéssez-vous! crie Eléonore qui vient de rentrer de nouveau dans la chambre avec Julie. Après il faut que z'y aille avec Zulie. - C'est bon on va la prendre, notre dousse! je réponds en imitant son zozotement. Je prends un short pour cet après-midi et nous entrons toutes deux dans la salle de bain. Camille s'empresse d'aller actionner la douche et sort aussitôt de la cabine. - Maintenant on attend 5 minutes et on sort, elle m'explique. - Ça t'embête pas de pas prendre ta douche? je lui demande. - J'm'en fous, ça me dérange pas. Et toi pourquoi tu veux pas prendre ta douche? - Bah... parce que j'ai une petite voix dans ma tête qui me dit de pas la prendre. Elle hausse les épaules à mon explication, ça a pas l'air de l'intéresser plus que ça , tant mieux. Elle est bizarre Camille: je la trouve gentille mais j'ai l'impression qu'elle est pas heureuse d'être ici. Je m'souviens qu'elle a dit dans le bus que ses parents l'ont forcées à venir mais elle avait l'air contente quand on jouait hier soir dans la salle de jeu. Le truc c'est que mon côté dégoûtant l'aime bien, parce qu'elle est négligée; mais j'ai jamais fait de trucs sexuels avec quelqu'un d'autre; enfin... des fois je fouille dans le bac à linge sale chez moi pour chercher les culottes sales de ma soeur, et j'ai un peu reniflé la couche sale de Julie hier avant de la mettre à la poubelle, mais c'est tout. Et même si Camille s'en fout, je sais pas si elle voudra faire ça. - Il faut que j'aille aux toilettes, elle me dit avant d'entrer dans la cabine. J'suis tentée de trouver un moyen de la regarder faire pipi... mais si elle me voyait... Je chasse ses vilaines idées de ma tête. Je savais que ça allait être dur une semaine en colonie: une semaine à ignorer mon côté dégoûtant, une semaine à avoir l'air d'une petite fille normale, une semaine sans se masturber... Même avec le bruit de la douche j'arrive à entendre le pipi de Camille qui tombe dans la cuvette. Rien que ce son arrive à me faire mouiller ma culotte qui était déjà très humide. J'suis sûre que les traces de caca se voient à travers le coton et j'ai toujours un peu peur quand quelqu'un me voit en culotte, comme hier lorsqu'Eléonore est entrée dans la chambre... Ça doit être grâce à elle que Camille est contente, quand j'y pense, hier elles étaient tout le temps ensembles... J'entends Camille tirer la chasse d'eau, je m'écarte un peu parce que je réalise que je m'étais collée à la porte pour mieux l'entendre faire pipi. Il faut que je chasse ces sales idées... - C'est bon tu peux y aller, me dit Sarah en sortant de la salle de bain avec Camille Je me précipite à l'intérieur avec Julie, ça fait plaisir d'avoir un peu de calme parce que j'ai eu une matinée assez mouvementée: déjà j'ai pas très bien dormi à cause de Camille qui bougeait et qui me touchait les fesses; et puis il y a que j'ai embrassé Arthur... Je sais pas pourquoi j'ai fait ça, je voulais lui dire que je l'aime bien et qu'il est gentil mais c'est pas sorti, alors je l'ai embrassé sur la joue à la place. Je savais pas comment y réagirait, j'ai cru qu'il allait me gronder alors j'me suis enfuis... - T'as de la sansse de pas pouvoir parler Zulie. - Douche, elle me rappelle. - C'est vrai il faut prendre notre dousse, allez viens. Je l'accompagne dans la cabine, et vérifie bien que l'eau est à la bonne température. Puis je commence par m'étaler du savon partout sur le corps, je fais ça rapidement parce que ça m'rappelle quand Camille elle m'a touchée sous la douche. Puis je lave Julie: je mets déjà du savon sur tout son ventre, on est les seules du groupe à pas avoir de seins... Je passe un peu de temps à jouer avec ses tétons, elle se défend pas donc c'est bon. Puis je savonne ses jambes et ses pieds, ils sont trop mignons, et tout doux, j'ai du mal à enlever mes mains de ses orteils. Puis je fais sa zézette, là aussi c'est tout doux, et il y a pas de poils donc ça me dérange pas de la toucher ici. Je remarque qu'elle a un petit bouton tout au dessus... quand je touche elle se met à me fixer, ça fait un peu peur... Mais c'est aussi assez spéciale de l'avoir à ma disposition comme ça: je peux faire ce que j'veux elle dira rien. Mais j'ai pas envie de lui faire mal, elle est trop mignonne pour ça! Ensuite je frotte ses petites fesses en insistant sur son petit trou, c'est bizarre parce qu'elle se contracte beaucoup et les bords caressent mon doigt on dirait... J'ai l'impression d'avoir des papillons dans mon ventre quand je la touche ici, c'est très bizarre... Je me dépêche de terminer de la laver, puis nous sortons de la douche. Les papillons disparaissent petit à petit; bizarre... Pendant le repas j'essaie d'éviter le regard d'Arthur, je suis sûre qu'il m'en veut encore pour ce matin. Rebecca et lui réclament le silence: - Votre attention mesdemoiselles! crie Arthur. On va vous expliquer ce qui se passera cet après-midi: Vous allez participer à une série d'épreuves, par groupe. J'espère que vous êtes en forme parce que vous allez devoir bouger. - Mais on est moins que les deux autres groupes! je proteste. - On a prévue ça, reprend Rebecca. 2 filles du groupe de Sabrina et du mien vont former un autre groupe. - Et moi comme j'suis plus forte et plus grande que les autres je participerai pas et j'encadrerai le dernier groupe, continue Aline. - Ça fera 4 groupes de 4, conclut Sabrina. - Et ça sera quoi comme épreuves? je demande. - On vous expliquera après manger, dit Arthur. Pour l'instant il va falloir que vous preniez des forces, alors finissez moi ces légumes! Hop hop hop! Je suis impatiente et je mange en vitesse. - Mange plus proprement Eléonore, j'ai l'impression de voir Sarah, se moque Aline. - Ve fuis là! fait remarquer celle-ci en crachant un peu de ses carottes sur la table. C'est vrai qu'elle mange comme une cochonne Sarah, je l'aime pas trop... Je préfère Camille. Après manger je cours dans ma chambre pour aller mettre un short, il fait super beau dehors alors je m'habille léger. ... - Est-ce que tout l'monde est là? demande Sabrina. - J'ai fait le compte, dit Arthur. Tout le monde est là. - Parfait! Comme vous pouvez le voir, on a installé pas mal d'activités dans le jardin. Ça c'est vrai, il y a un grand tunnel, des espèces de stands, des plots... on se croirait dans une fête foraine! - Vous allez faire les épreuves une par une, Aline va accompagner le 4ème groupe. Il va vous falloir désigner 2 personnes pour faire chaque épreuve. - Z'espère qu'on va gagner, je murmure pour moi même. - Je compterais pas la dessus si j'étais toi, dit Camille. - Pourquoi? - Bah je suis pas trop sportive; à en juger par ses fesses, je dirais que Sarah l'est pas non plus, et Julie... - C'est pas grave, z'vais faire de mon mieux! je lui dis convaincue. Elle rigole un peu et elle me frotte la tête avec un air amicale, pour dire qu'elle aime bien mon enthousiasme. Arthur arrive et on le suit à la première épreuve: c'est l'espèce de tunnel qui doit faire 100 mètres de long, il y a des supports en bois et une bâche noire qui le recouvre, c'est très étroit à l'intérieur, je devrai y aller à 4 pattes. - Pour cette épreuve, il va falloir faire preuve de souplesse et de rapidité, nous explique Arthur. Vous devrez traverser le Tunnel de la Mort le plus rapidement possible, à la fin de la journée, l'équipe qui aura fait le meilleur temps gagnera 7 points, la deuxième 5 points, la troisième 3 points et 1 point pour la dernière. Il me faut 2 volontaires. - Ça sera sans moi, dit Sarah en reculant de quelques pas. - Bon... on peut pas demander à Julie de faire ça, il reste que nous deux, me dit Camille. - Ze passe devant. - À vos marques... prêt... partez! Je plonge dans le tunnel et commence mon avancée à 4 pattes. C'est pas éclairé et peu à peu l'obscurité nous empêche de voir quoi que ce soit. Camille arrive à me suivre, je sens son souffle sur mes cuisses. Après environ 50 mètres je commence à fatiguer; et le passage se fait plus étroit. - Fais attention, il y a des planches sur le chemin, je préviens. Je réussis à passer en dessous en me tournant sur le dos; je commence à apercevoir la lumière au bout du tunnel, on est à mi-chemin et cette perspective me fait redoubler d'efforts! Quelques planches nous obligent à nous courber encore un peu, puis nous entamons ce que nous croyons être la dernière ligne droite. - Aïe! Ma tête vient de se cogner contre une petite porte grillagée. Elle est en plein milieu du chemin, impossible de la contourner. En tâtonnant je sens un trou au milieu du grillage, mais il est bien trop petit pour que je passe. Camille se cogne elle aussi, contre mes fesses. - Qu'est-ce qui se passe? Dans la pénombre, j'arrive à distinguer une clé, de l'autre côté du grillage, si j'arrivais à tendre le bras suffisamment... - Ze crois qu'il faut utiliser une clé, mais z'arrive pas à l'atteindre, i' faut qu'tu me pousses, je lui explique en collant mon visage à la grille. Au même moment où elle pousse sur mes fesses je sens une autre pression à cet endroit là, et sans pouvoir me retenir je laisse échaper un pet. - Beurk, fait Camille en reculant. - Nan recule pas ze l'ai presque! je lui dis. - Mais ça pue! - Obéis! Cet accès d'autorité fait revenir les papillons dans mon ventre... mais j'ai pas le temps de penser à ça! Aidée par sa main, je fais une ultime poussée (qui me refait péter) et réussis à tirer la clé vers moi! Je m'en empare et cherche à tâtons la serrure. Ma main tombe sur un cadenas que j'ouvre précipitamment je le retire et donne un coup dans la grille qui s'ouvre en grand, nous libérant le passage! L'obscurité s'atténue et j'aperçois enfin la sortie du tunnel, plus d'obstacles. J’utilise les forces qu'il me reste pour ramper le plus vite possible vers la sortie. - Et d'une... Et de deux! Bien joué les filles, vous avez mis 1 minute et 35 secondes, nous dit Arthur à notre sortie. - Bravo, nous félicite Sarah. - Bravo, répète Julie. Arthur enlève un bout de bâche, au niveau du grillage. Il referme le cadenas et remet la clé derrière la grille. Puis il remet la bâche correctement. - C'était pas trop dur le coup de la grille fermée à clé? il nous demande. - La clé est un peu loin pour une petite fille de 9 ans, répond Camille en ricanant. Je rougis un peu: elle avait dit la même chose qu'Arthur à la réunion; je savais pas qu'elle nous avait vu ce matin, c'est peut-être pour se venger parce que je lui ai pété dessus dans le tunnel. C'était bizarre cette sensation, comme si j'avais envie de faire pipi, d'ailleurs ma culotte est un peu mouillée et c'est pas que de la transpiration... Fatiguant ce tunnel, mais je crois qu'on a été assez rapides, grâce à Eléonore... J'arrive toujours pas à croire ce qui s'est passé là dedans, j'ai profité de cette épreuve pour avoir ses fesses à quelques millimètres de mon visage (pendant 1 minutes et 35 secondes) mais je m'attendais pas à ce qu'elle me pète dessus... sur le coup je n'ai pas su comment réagir, alors je lui ai obéie et suis restée avec ma main collée à son petit cul pendant que je respirais cette odeur à la fois dégoûtante et obsédante. C'était assez agréable, et j'avais une excuse pour toucher ses fesses. Mais je me suis sentie soumise à cet instant, c'était très étrange... Avec Célia, la fille avec qui je "sors", c'est moi qui commande, je la contrôle totalement. Là c'est l'inverse, et ça me plaît très moyennement... - Épreuve suivante, venez. On suit Arthur jusqu'à un terrain vague où plusieurs piquets sont plantés au sol; des fils les relient de façon à faire un chemin assez étroit. - Cette épreuve sera une épreuve d'adresse, il va falloir passer par le chemin entre les fils, sans les toucher. - Facile, dit Eléonore. - Les yeux bandés, précise l'animateur en me tendant des bandeaux noirs. - On gagne combien de point si on réussit? je demande. - 5. Chaque fois qu'une fille loupe vous en perdez 1. - Je vais essayer, se propose Sarah. Je lui attache le bandeau et la voilà partie, elle avance d'un pas assuré mais qui se fait hésitant après le premier virage. À côté de moi Julie me fait signe qu'elle veut jouer avec les bandeaux, j'ai pas vraiment la tête à ça alors je lui bande les yeux avec, ça l'occupera pendant un moment. - Ah zut! s'écrie Sarah lorsqu'elle marche sur un fil, renversant un piquet au passage. - Mince, fait Eléonore. - Tu y était presque, commente Arthur en remettant le piquet correctement. Vous pouvez encore gagner 4 points, rien n'est perdu. L'équipe précédente en a gagné 2. - On y arrivera pas! désespère Eléonore. - Faites attention que Julie trébuche pas à cause des fils, nous dit Arthur en voyant la fillette s'approcher du chemin. - Ze vais la récupérer, dit Eléonore. - Nan attends! s'écrie Sarah. Regardez elle y arrive! Incroyable! Julie est en train de faire le chemin, les yeux bandées, avec sa démarche aussi maladroite que d'habitude, mais elle y arrive. - Elle a dépassé l'endroit où Sarah a perdu, commente Eléonore. - Tu viens de te faire battre par une fillette handicapée qui a 3 ans de moins que toi... je fais remarqué à Sarah. - Elle a réussi, s'étonne Arthur lorsque la fillette dépasse les derniers piquets. - Youpi! nous nous écrions toutes en coeur. - J'suis très fier de toi ma puce, complimente Arthur en prenant Julie dans ses bras. La gamine a pas l'air de se rendre compte de ce qu'elle vient de faire, elle affiche toujours son regard d’indifférence comme si elle fixait quelque chose d'invisible. Elle est très bizarre cette fille... - Si vous terminez toutes les épreuves comme celle-ci vous allez gagner très facilement. Il nous emmène jusqu'à une table où sont déposés des petits cerceaux, 3 piquets sont positionnés un peu plus loin. - Le but du jeu est simple: vous vous mettez derrière la table, et vous devez envoyer les cerceaux sur les piquets, celui à 1 mètre vaut 1 point, celui à 2 mètres en vaut 3 et celui à 3 mètres en vaut 5. Vous choisissez 2 personnes, chacune a droit à 3 cerceaux. - Ça fait beaucoup de chiffres, je me plains. - C'est bon je vais y aller avec Eléonore, décide Sarah. - Ze commence! Je m'approche avec elle de la table, avec son short qui descend j'ai une jolie vue sur sa raie des fesses. Elle jette le premier cerceau mais loupe de peu le deuxième piquet. - Penche-toi plus, je lui conseille. Elle m'obéit et j'ai la chance de voir son short révéler quelques centimètres de plus de ses adorables petites fesses. Elle loupe encore mais je ne prête plus attention à sa prestation, mon regard est plongé dans les profondeurs de sa raie. - Bien joué, ça fait 3 points, commente Arthur en ramassant les cerceaux. - C'est pas beaucoup, dit la fillette. - T'aurais dû prendre ton temps, lui explique Sarah. Ça t'aurait permis de mieux viser... Et ça aurait pas déplu à Camille. Elle a murmuré la dernière phrase pour que je sois la seule à l'entendre, elle est moins innocente qu'elle en à l'air cette fille, dommage que ses fesses soient si disgracieuses, sans ça je la préférerais peut-être à Eléonore... - À mon tour, elle dit en s'emparant des cerceaux. Elle lance le cerceau qui tombe pile au centre du premier piquet. - Ça fait 1 point de plus, déclare Arthur. - Il faut faire mieux que ça, ronchonne Eléonore. - À vos ordres maîtresse, ironise-t-elle en lançant le deuxième cerceaux qui tombe à 3 centimètres du 3ème piquet. Eléonore s’apprête à pouffer de rire mais Sarah lance son dernier cerceaux qui, cette fois-ci, arrive au centre du piquet après avoir fait quelques spirales. - 5 point de plus! s'écrie-t-elle. En tout ça fait 9 points! - T'as eu de la sansse, rétorque Eléonore. Elle est de mauvaise foi quand elle s'y met... une vraie gamine. Mais ça l'empêche d'être belle! - Prochaine épreuve: c'est une épreuve d'équilibre, 2 d'entre vous doivent monter sur la planche et avancer le plus loin possible: vous gagnez 1 point par mètre parcourus. Devant nous se dressent 2 planches de bois, fines mais solides, légèrement surélevées, elles doivent faire quelques centimètres de largeur sur le premier mètre et rétrécissent après. J'suis pas trop fortes en équilibre mais j'ai bien envie de faire taire Eléonore. - T'y vas avec moi Sarah? propose Eléonore. - D'accord. Arthur nous tient lorsque nous montons chacune sur une planche, puis il nous lâche et c'est à nous d'avancer. Je commence d'un pas assuré, le même qu'à l'épreuve du bandeaux... Heureusement j'ai pas mal d'équilibre, je crois que c'est grâce à mes fesses, ça fait chuter mon centre de gravité. Eléonore avance plus vite que moi mais tombe juste avant le 4ème mètre. - Ah! Mince! - T'as pas atteint les 4 mètres, ça fait 3 points, annonce Arthur. Intérieurement je jubile, mais pas le temps de rigoler, je n'ai fait que 3 mètres pour l'instant. Un pied devant l'autre, douuuuuucement... 4 mètres, super. Ça commence à être très étroit, et la planche tremble légèrement, et moi aussi! 5 mètres, on continue douuuuuucement et... Ah! -5 mètres, plus les 3 d'Eléonore, vous gagnez 8 points. C'est pas mal du tout, commente Arthur. 5 mètres c'est pas mal, et j'ai battu Eléonore c'est ce qui compte. Par contre je crève de chaud, mes vêtements sont trempés de sueur et j'ai cette affreuse moiteur dans mon entrejambe... Ma culotte est toute mouillée: elle a accumulé ma transpiration, ma mouille, et un peu de mon pipi, je la porte depuis 4 jours et elle commence à sentir super mauvais, je veux dire vraiment mauvais, cette odeur que mon côté dégoûtant adore et qui rend ma culotte encore plus mouillée qu'elle ne l'est déjà. Ça y est ce sentiment se remet à m'obséder, j'arrive à peine à me concentrer lorsqu'Arthur nous présente la prochaine épreuve. Ça ressemble à un mur d'escalade qu'il faut monter le plus vite possible. Je laisse Camille et Eléonore s'en charger. Moi j'ai la tête ailleurs. Focalisée sur ma culotte et la sensation du frottement poisseux de mon entrejambe lorsque je me balance imperceptiblement. - C'est pas trop mal: 18 et 25 secondes... commente Arthur sans conviction lorsque les filles descendent du mur. Il vous reste l'épreuve du relais, et ça sera fini. - Enfin! souffle Eléonore. Vous le ferez toute les deux parce que moi z'en peux plus. Ça me sort de ma rêverie, j'ai envie de gagner moi aussi, et si Eléonore peut pas le faire, c'est pas Julie qui le fera! Là encore on est chronométrées, je me mets en deuxième position, j'ai juste à attendre que Eléonore fasse le tour du terrain... me tape dans la main et... hop! Je cours du plus vite que je peux! J'ai l'impression de traîner mes fesses derrière moi comme deux sacs à patate... j'ai pas l'habitude de bouger autant en une journée! Allez! Plus qu'un dernier effort... voilà le dernier virage... je le passe et... - Top! 48 secondes, c'est bien joué les filles. Je m'écroule par terre, j'ai l'impression d'avoir fait le marathon! J'ai de la sueur partout, mais surtout pendant que je courais, le frottement était super! J'avais le sexe en feu et maintenant j'ai qu'une envie: me masturber! - Allez viens Sarah, me dit Eléonore au dessus de moi. I' faut qu'on aille à la cantine pour qu'ils nous disent qui a gagné! Je me relève à contre-coeur et marche le plus lentement possible vers l'hôtel. Les animateurs nous ont fait un grand goûter avec de la limonade et des gâteaux. Manger ça doit être la chose la plus belle au monde après l'orgasme. Le plaisir que ça m'fait est presque comparable, et c'est presque aussi salissant, mais plus innocent. Hi Hi Hi! - Votre attention s'il vous plaît! crie Arthur. On va annoncer les résultats de cette journée d'épreuves... - Z'espère qu'on va gagner, me dit Eléonore. - Ch'est chûr qu'on va gagner, je lui réponds en savourant les gâteaux. - En 4ème position, l'équipe d'Aline, avec 30 points. - C'est dommage, vous avez particulièrement brillé au relais où vous aviez eu 7 points... commente celle-ci un peu déçue. Quelques applaudissements suivent la déclaration, mais pas beaucoup. - En 3ème position, continue Arthur, c'est l'équipe de Rebecca et ses 34 points. Nouveaux applaudissement un peu plus fort, je stress. - On passe directement à la première place, et c'est mon équipe! annonce Sabrina. 38 points, je suis fière de vous les filles! Cette fois c'est l'ovation, des cris, des huées, des contestations... J'suis un peu déçue aussi; Arthur arrive même pas à crier assez fort pour se faire entendre. - 36 points pour notre équipe, il nous annonce en venant à notre table. - On a quand même perdu... fait Eléonore. - Vous avez été très superbes, vous avez fait le meilleur temps dans le tunnel, de très peu. Et puis vous êtes pas les plus fortes physiquement, la 2ème place c'est impressionnant. C'est vrai que quand on y pense: on a Eléonore qui a que 9 ans, Julie qui est handicapée, Camille qui aime pas le sport, et moi et mes grosses fesses. La 2ème place quand même... - Heurevement que Vulie était là, je dis avec mon goûter encore dans la bouche. Finon on aurait finis troivième. - Vous venez on va zouer au baby-foot maintenant, nous propose Eléonore en quittant la table. - Roh, f'uis trop fatiguée, vais aller me repover, je lui réponds en prenant le dernier gâteau. Une fois rassasiée je me précipite dans la chambre. Je suis réellement crevée mais je vais profiter de ce petit moment de solitude pour calmer mes pulsions! Déjà il faut que j'excite mes sens, le premier objet susceptible de me stimuler qui arrive dans mon champ de vision est une culotte sale de Camille qui traîne dans le placard, ça fera l'affaire. Je la prends et m'allonge sur le lit, c'est la culotte qu'elle portait hier et ce matin, il y a des traces marrons au fond et elle est encore humide; je la porte à mon visage, l'odeur est infect, presque insupportable, mais tellement excitante! Ça y est je mouille ma culotte! Les odeurs intimes de Camille sont presque aussi écoeurantes que les miennes, mais elles me sont inédites et donc largement suffisantes pour m'amener à l'orgasme, tout ce qu'il me faut c'est un peu de temps. Ma main descend sur mon sexe, il est trempé. Quelques poils y ont poussé depuis peu et ce contact est encore un peu bizarre, mais rend l'odeur encore meilleure! Mon index descend sur mon anus, l'endroit qui m'excite le plus, et de loin! Il y a une légère couche de saletés ici, moins que d'habitude parce que j'ai dû prendre ma douche hier... Là aussi deux ou trois poils ont poussé, mais ça me dérange pas du tout, au contraire mon caca s'y colle des fois c'est super bon et ça laisse de meilleures traces sur mes culottes... - J'étais sûre de te trouver là! Je manque de hurler lorsque j'entends ça. C'est Camille! Elle vient d'entrer dans la chambre et son sourire laisse à penser qu'elle a une idée derrière la tête. - Je savais que t'étais une petite cochonne mais de là à te masturber dans mes culottes. Étrangement je n'ai pas réagis, je me suis figée dès son entrée. - Je... Je... - T'as de la chance j'suis pas méchante et je dirais rien. - C'est... C'est vrai. - Bien sûr, elle me répond en retirant son short. Par contre je suis trempée de sueur, j'aimerais bien une langue pour me nettoyer un peu; et puis c'est toi qui a pas voulue que j'me lave ce matin, c'est un juste retour des choses. - Quoi?! Jamais de la vie t'es folle! - Tu préfères que je dise à tout le monde ce que tu faisais? Tu sais qu'Aline a tendance à répéter tout ce qu'on lui dit... - Nan c'est d'accord! je m'écris. Je ferai tout ce que tu voudras mais dis rien pitiééééééééé! Elle retire son T-Shirt, et c'est juste en culotte qu'elle monte sur mon lit. L'odeur de sa transpiration me monte au nez, et mon côté dégoûtant qui s'est éclipsé lorsque Camille est entrée revient discrètement prendre le contrôle de mon corps. - Déjà je veux que tu laves mes fesses, elle me dit en retirant sa culotte. Mais touche pas à mon trou du cul sinon... "Pas de problèmes pour ça", je me dis pendant qu'elle se met à 4 pattes au dessus de moi pour m'exposer son cul. Ses fesses ont la même tendance à pendre derrière elle que les miennes, elles sont juste un peu plus grosses mais ses hanches sont larges donc ça se remarque moins. Je commence par écarter les 2 globes qui m'empêchent de contempler ma cible. Elle a plus de poils que moi entre ses jambes, j'arrive à peine à discerner son anus, et je parle même pas de l'odeur, un mélange de sueur et de caca qui témoigne des efforts qu'elle a fait cet après-midi. Je pose ma langue tout au dessus de sa raie, c'est très moite; elle pousse un petit soupir d'aise lorsque j'entame la descente vers les profondeurs de son cul, sa transpiration a rien de similaire à la mienne: elle est plus... grasse, et plus poisseuse aussi, mais c'est tout aussi agréable à savourer! Je commence à sentir les plis de son petit trou et je dois faire tout les efforts du monde pour pas descendre plus bas. - J'aime trop ta langue, elle me dit. J'ai trouvé ma petite station de lavage pour la semaine. Elle pense vraiment ce qu'elle dit, ou c'est pour me faire peur? L'idée d'être à sa merci toute une semaine n'a rien de réjouissant, même si dans mon état pré-orgasmique je dois faire tout les efforts du monde pour ne pas crier de joie. Je continue le récurage de sa raie pendant encore 5 bonnes minutes avant qu'elle ne décide que ça ne l'amuse plus: - J'en ai marre, et puis je suis sûre que tu meurs d'envie d'avoir ton orgasme. Je hoche la tête, silencieuse. - Je pense que tu l'a mérité, pour cette fois en tout cas. Mets toi à 4 pattes et montre moi ton cul. Je m'exécute sans discuter, elle a l'air d'aimer la domination, et quoi de mieux qu'un chantage pour obtenir tout ce qu'on veut de quelqu'un... Mais je l'veux mon orgasme, même si je dois m'humilier pour ça, néanmoins la honte que je ressens à exposer mes fesses est moins pire que j'le pensais, après tout Camille a les mêmes. - C'est dingue comme tu peux avoir des grosses fesses! elle me dit en malaxant mon cul. On a l'impression que tout les gâteaux et les bonbons que tu manges finissent ici. Elle a raison; on m'a déjà dit que j'pourrais facilement devenir modèle si j'avais pas mes 2 fesses qui pendaient comme ça; mais je veux pas devenir modèle, et tant que j'ai pas à les montrer, mes fesses me dérangent pas, au contraire ça garde la transpiration plus longtemps. Camille les écartent des deux mains le plus possible, comme si elle voulait les arracher, ça fait bizarre d'avoir l'air frais qui vient caresser mon trou du cul tout chaud, c'est pas désagréable... - C'est vraiment dégoûtant ici, on croirait que tu t'es jamais essuyée de la vie. Tout à coup je sens qu'elle pousse sur mon anus comme pour essayer de rentrer son doigt, ça donne une horrible sensation de brûlure et je peux pas m'empêcher de pousser un petit cri. - Je pensais que ton trou du cul était plus ouvert que ça, elle me dit avec un semblant de déception. Perverse comme tu es, t'aurais déjà dû t'enfoncer des trucs ici, non? Elle a pas tord, ces mots qui devaient m'humilier me font seulement m'interroger... À part mes index et mes majeurs, rien n'a visité ce petit trou qui pourtant me procure tant de plaisir. Elle retente son introduction après avoir mouiller son doigt, cette fois il entre comme dans du beurre. En experte, je resserre mon sphincter, parce que c'est comme ça qu'on a les meilleurs sensations. Et pour des sensations c'est des sensations! Son index est plus gros que mon majeur, ce qui fait de lui le plus gros objet qui soit entré dans mes fesses, et il me fait un bien fou! L'orgasme arrive en moi ça y est! La vague de chaleur me fait me contracter encore plus, Camille a l'air de se rendre compte de ce qui m'arrive parce que son index se met à tourner et à s'enfoncer encore plus profondément en moi, ça me ferais presque mal! - Je savais que t'aimerais ça, les petites cochonnes comme toi adorent qu'on s'occupe de leurs fesses. Pour toute réponse je halète encore plus fort, je peux plus bouger tellement je suis épuisée. Camille retire son doigt, c'est si agréable de sentir quelque chose sortir de ses fesses comme ça... Son doigt se présente à ma bouche, l'odeur de mon caca me monte rapidement au nez et j'ouvre la bouche par automatisme, je fais toujours ça après m'être mise un doigt dans les fesses: je lèche minutieusement toutes les traces, comme pour effacer les preuves de mes cochonneries. Après quoi elle me donne une petite claque sur le derrière, pour me dire que c'est fini. Je me lève du lit et me rhabille en vitesse, je reprends discrètement la culotte sale de Camille et la remet dans le placard, là où je l'ai trouvée. Celle-ci prend son temps pour se rhabiller. - À partir de maintenant tu seras ma petite esclave, elle me dit en quittant mon lit. Et attention, à la moindre marque de désobéissance je dis tout à Aline. Je ne réponds pas, qu'est-ce que je pourrais dire? J'ouvre la fenêtre pour aérer, l'odeur de la sueur à remplit la pièce et Camille me fait signe que ça l’incommode .. Juste une excuse pour montrer sa domination, je suis sûre que si elle le voulait elle pourrait être aussi cochonne que moi. D'ailleurs je sens que j'me calme, l'orgasme m'a fait du bien et a surtout fait partir mon côté dégoûtant, petit à petit je ressens beaucoup de dégoût pour ce que j'ai fait, et une terrible honte pour la façon dont Camille m'a humiliée... - Il va falloir aller vous doucher les filles, je leur dis entre 2 parties de baby-foot. Vous puez la transpiration! - Laisse nous zouer encore un peu! me supplie Eléonore. - On discute pas, où est Julie? - Elle fait un puzzle avec Arthur, m'indique la fillette. T'as qu'à aller te laver avec moi! Ça ressemble plus à une supplication qu'à une proposition, je ne peux qu'accepter. Eléonore est celle qui m'intéresse le moins, elle est totalement innocente (et s'affole dès qu'elle embrasse un mec!), et même si l'expérience m'a montrée qu'on pouvait très bien ressentir du plaisir avant la puberté, je préfère me concentrer sur Sarah et Camille. D'ailleurs on les croise dans les escaliers: - Les filles vous vous êtes lavées? je leur demande. - Oui on sort de la douche! elles me disent sans s'arrêter pour nous. C'est un mensonge évidemment, j'ai peur que Sarah ait une mauvaise influence sur Camille, m'enfin, j'suis pas la mieux placée pour faire la morale... - Tu te mettras en pyjama, je dis à Eléonore lorsque nous entrons dans la salle de bain. Je me déshabille sous ses yeux attentifs, elle a déjà vu Camille nue mais je doute que nos physiques soit comparables, sans vouloir l'offenser. Je me faufile sous la douche et l'attends pendant qu'elle se déshabille elle aussi. Elle a un corps assez singulier pour son âge, déjà ses dents un peu avancées et surtout ses fesses, elles sont parfaites, rondes, rebondies, je suis sûre que je mouillerais rien qu'en les touchant. - Tes seins i' sont plus petits que ceux de Camille, elle me fait remarquer dès son entrée dans la cabine. Mais t'as moins de poils. - C'est parce que je m'épile, je lui explique. Camille elle préfère garder ses poils; tu voulais que j'me douche avec toi pour comparer? - Bah un peu, elle répond en rougissant. - C'est parce que tu veux pas te laver avec Julie? - Bah ce matin ça m'a fait bizarre quand ze l'ai lavée. Comme s'il y avait des papillons dans mon ventre... Elle ressent du plaisir à laver la petite handicapée, ça m’intéresse très peu mais c'est toujours bon à savoir. - Et pourquoi t'as pas demandé à Camille? - Bah la dernière fois elle... elle m'a toussée les fesses alors que ze voulais pas, m'explique-t-elle un peu hésitante. Et... elle a recommencé la nuit quand elle croyais que z'dormais. J'en étais sûre! Camille est tombée sous le charme de cette adorable paire de fesses et ses hormones la travaille trop pour qu'elle puisse se retenir une semaine. - Elle savait pas que t'aimais pas peut-être, je lui dis. Et puis moi je serais flattée qu'on me touche les fesses, ça veut dire qu'elle les trouve très belles. - Tu crois? - J'en connais beaucoup en amour, je lui dis avec mon sourire qui en dit long. Oh fait, il paraît que t'as fait le meilleur temps à l'épreuve du tunnel? je dis pour changer de sujet. - Bah ze voulais te parler de ça aussi, dans le tunnel à un moment z'ai... z'ai péter... Et comme z'étais devant la grille il fallait que Camille me pousse. Et elle voulais se reculer mais ze lui ai dis de continuer à me pousser même si ça sentait mauvais et les papillons i' sont revenues dans mon ventre! - Calme-toi, je lui dis parce qu'elle commence à stresser et à parler trop vite. Je crois que je comprends, il va falloir que tu répondes honnêtement à ma question: est-ce que tu aimerais forcer Camille à faire des choses, des choses sales. - Bah... oui z'crois, pourquoi? - Voilà ce que tu vas faire: dès que tu seras seule avec elle tu lui demanderas quelque chose et en échange elle pourra voir tes fesses, puis les toucher, les lécher... - Les lésser?! elle s'exclame en pouffant comme s'il s'agissait d'une stupidité. - Fais-moi confiance, je t'assure qu'elle acceptera. - Bon d'accords... elle fait, encore un peu sceptique. - Maintenant tourne-toi, il faut que je lave ton dos et tes fesses. - Toi aussi tu veux tousser mes fesses? elle demande étonnée. - Bah elle sont très belles, presque autant que les miennes. - D'accord... mais pas plus de 5 secondes, elle me dit d'un ton sévère. 5 secondes c'est peu, mais il va falloir que je m'en contente. Je fais descendre ma main sur ses fesses, les malaxe un moment, c'est incroyable comme c'est bon! Je rentre mes pouces dans sa raie pour écarter les 2 sphères et voir sa petite étoile noire; je passe mon pouce dessus, la vache, j'ai presque l'impression qu'elle me caresse avec les plis de sa rondelle! C'est trop bon! - STOP! elle crie en se reculant. C'est dingue comme c'est court 5 secondes... Camille va s'amuser, je le sens, Eléonore aussi! Ce que je prévoyais est arrivé: je mouille rien qu'en ayant touché son cul... Nous finissons dans le silence et sortons de la douche; je la laisse mettre son pyjama pendant que je vais dans ma chambre. J'enfile une jolie robe de chambre blanche, la couleur de la pureté. L'ordinateur d'Arthur est encore allumé, j'ai oublié de l'éteindre ce matin après avoir regardé un de ses albums-photos, il a pas mal de photos de "sa petite amoureuse" qui me faisait plus penser à un cochon ou un hippopotame qu'à une petite fille de 9 ans. Non je suis pas jalouse! C'est avec moi qu'il va baiser ce soir, pas avec elle! Aaaaaah j'adore cette colo! Au château j'ai très peu de pouvoir et de responsabilités, là en à peine 24 heures j'ai la sexualité de 3 fillettes entre mes mains, pour Eléonore et Camille, c'est plus ou moins réglé, mais il reste la plus intéressante: Sarah, mais je m'y attaquerais demain, là je vais devoir descendre manger et après je pars me coucher, je suis crevé, et demain est une grosse journée. - Ça fera pas un peu léger 2 sandwichs après une mâtiné de piscine? j'ai demandé. - Bah si t'as autre chose à proposer... souffle Sabrina - Pourquoi pas les emmener au restaurant, il y en a un à côté de la piscine, elles auront même pas à se rhabiller. Et j'ai cru comprendre que l'argent n'était pas un gros problème... - Il a raison, a commenté Rebecca. - On fait comme ça, a déclaré Sabrina. - Parfait, j'ai conclu. Maintenant je pense qu'on est tous d'accords pour dire que si le bus passe nous prendre à 9 heures, il est plus que temps qu'on aille se coucher. - Il a raison, a commenté Sabrina. - On fait comme ça, a déclaré Rebecca. Encore une réunion finement bouclée, il ne me reste plus que la dernière épreuve de la journée, celle-ci rapporte pas de point par contre... et je la fais tout seul. - Mais c'est une épreuve que t'es sûr de gagner, me dit Aline pendant que je retire mes vêtements. |